Personne n’est parfait : responsables marketing et dirigeants sont constamment à la recherche de nouveaux leviers pour générer davantage de trafic dans l’espoir de le convertir en opportunités d’affaires. Orgueil ou vanité, manque d’accompagnement, peur des nouveaux paradigmes, tentative d’hypnose des actionnaires ou simple logique quantitative pour justifier son action, les chiffres nous ramènent toujours à la réalité.
Avec en moyenne un taux de rebond de 80% sur une page d’accueil, 1% de taux de conversion qui fournit 55% de leads hors cibles ou fantaisistes, 40% éventuellement concernés par votre offre et pouvant à tout moment partir à la concurrence ou renoncer provisoirement à l’achat et seulement 5% de prospects prêts à acheter et potentiellement livrables à vos commerciaux, seuls les meilleurs d’entre eux parviendront à en transformer 1 sur 4 en clients.
Soit une équation qui nécessite 10 000 clics ou visites pour obtenir une seule vente à court terme et une déperdition énorme à chaque stade du processus de conquête.
Comment peut-on limiter la volatilité de son audience, la perte d’attention des cibles, le défaut d’assiduité de ses leads et la démission des prospects en phase finale ?
En renfort des techniques d’optimisation qui améliorent considérablement la performance (hyper-segmentation des campagnes de trafficking et des pages d’atterrissage, contenus adaptés aux étapes du cycle d’achat et aux profils des acteurs de la décision, tests A/B, ergonomie, analyse comportementale, scoring, lead nurturing…), la psychologie sociale nous apporte une fois de plus une aide précieuse dans la connaissance des mécanismes de la prise de décision et des méthodes pour maintenir la persévération d’un comportement dans le temps.